Chronique

- How to disconnect from your social surrounding in half an hour
- Heeey… Let’s start a band !
- The district attorneys are selling your blood
- Trife life
- Fighting wars with keyboards
- Mulder
- Thousand complaints, one answer
- If you want to blame us for something wrong, please abuse this song !
- Rinding dead horses is a fucking curse
- Transmetropolitan
- And in the right to make mistakes, we may lose and start again
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Publié le 04/08/2007
(Grind)
Lorsqu’on écoute cet album, dès les premières secondes on pense à Cephalic carnage et son bien barré et si personnel « Exploiting Dysfunction ». Un album tellement à part que croiser un autre lui ressemblant à quelque chose de frappant. Je doute que War from a harlots mouth puisse alors nier son influence. Le groupe allemand allant pouser jusqu’à proposer un unique (et premier) titre aux influences Jazz tout comme son grand frère.
Ainsi c’est un grind atypique ou se cotoient étroitements violences et semblant de sérénité, syncopes et mid tempo. Où des passages death aggressifs se marrient avec des riffs trash/core propices aux torticolis. Mais aussi d’excellents des arpèges typique des grind/death techniques avec des ruptures et même des passages accoustiques.
Extremement alternatifs « Transmetropolitan » risque d’en faire disjoncter certains. Et pour cause, non content de proposer des rythmes et des facettes du métal très différentes, War from a harlots mouth (quel nom de m**** ) fait preuve d’une solide maitrise instrumentale (très bon batteur notamment). Ajouté à cela les jeux de vocaux que l’on y trouve, des hurleurs enragés ou de puissants gutturaux mais aussi des chants typés hard core qui offrent une certaine pêche aux morceaux.
C’est un sacré chaos apparant qui s’annonce donc, et pourtant nulle place au hasard ici. Il est donc des passages inventifs et franchements réussi que l’on trouve découvre aux fils des écoutes, mais à coté de ça il en est d’autres qui souffrent de ce désir absolu de bizarrerie et conduisent quelques passages mal senti ou pire lourdingues.
« Transmetropolitan » mérite le détour, ne serait-ce que pour le renouveau qu’il représentera dans votre discographie.
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